T a t o o i n e

Le Palais de Jabba

 

Sur les bords de la Mer de Sable se dresse une imposante structure de pierre et de roche : le palais du seigneur du crime Jabba le Hutt. C'est là le repaire du mal et des rebuts de la galaxie. Jabba divertit continuellement d'autres criminel, chasseurs de primes et assassins professionnels, organisant des festins extravagants et toutes sortes de distractions, des concerts du jiss band aux exécutions.

 

De nombreux siècles auparavant, des moines exilés de l'ordre B'ommar ont construit un monastère sur les bords de la Mer de Sable. Ce sont eux les premiers à avoir jeté les bases d'une construction alors sommaire. PLus tard, un criminel connu sous le nom d'Alkhara s'installa dans une aile du monastère et y resta pendant 34 ans. Il organisait des raids contre les fermes à condensation. Sa richesse grandissante lui permit d'agrandir la citadelle et d'en faire un repaire défensif.

Après Alkhara, le monastère B'ommar devint la cachette de nombreux autres gangsters et bandits de la galaxie jusqu'à devenir le quartier général du Grand Jabba. Ce dernier rajouta les tours autour de la rotonde centrale. Il agrandit les salles intérieures, transformant les anciennes chambres des moines en cellules et oubliettes. Il installa également à proximité un hangar dissimulé dans les rochers de la falaise pour ses barges.

L'entrée du palais est constituée par un gigantesque couloir obscurs aux arches sombres et gravées de symboles B'ommar.
Les étrangers sont accueillis là par l'âme damnée de Jabba, le Twi'lek Bib Fortuna. La garde gamoréenne de Jabba, dissimulée dans la pénombre, reste prête à attaquer les intrus si ceux-ci semblent suspects.

 

Malgré ces changements, les moines sont restés dans les plus bas étages du palais. C'est là qu'ils cherchent toujours à atteindre l'illumination.

Pour atteindre cet état tant espéré, les moines ont développé une technique très particulière : au moment le plus profond de la méditation, leur cerveau est retiré de leur crâne et plongé dans des cuves mobiles pleines de liquide physiologique nourrissant. Par cette technique, ils se libèrent des distractions de la chair. Un droid piloté par leur cerveau encore actif articule les pattes de l'urne et lui permet de se déplacer dans les couloirs du palais.

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